Il faut être toujours roman. Tout est là: c'est l'unique fin. Pour ne pas sentir l'horrible canevas du Recueil de nouvelles qui brise vos épaules et vous penche vers la divagation, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi? D'auteur, de précision ou de fantasmagorie, à votre guise. Mais paragraphetallez-vous.
Et si quelquefois, sur les chroniqueuses d'un écrivassier, sur l'ode verte d'un aparté, dans la page manuscrite morne de votre voix, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au drame, à l'introduction, à l'allitération, à l'alexandrin, à la description, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle comédie il est; et le dialogue, la trame, l'oeuvre, le point-virgule et la phrase, vous répondront: «Il est l'heure de s'écrivainaniser! Pour n'être pas les accents aigus martyrisés de l'Ergoteur, enivrez-vous; enivrez-vous sans éloquence! D'auteur tragique, d'écriture ou de ponctuation, à votre guise.»
Bidouille (Nordmann)
Génération de poèmes automatiques ... explication ... mode d´emploi ...
NordPo.V7 © nordmann 2005/2020
cliquez ici
| faites muter vos textes |
le fil info |
| géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
| nos romans |
| encre |
menu |
| contact |
